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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 14:13

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Premier jeu « arcade » de la Xbox One, Max : The Curse of Brotherhood est sorti timidement à la fin du mois de décembre. Microsoft ne voulait-il pas ébruiter sur la sortie de ce titre par honte ? Max a-t-il un lourd secret qu’il préfère garder pour lui ? Que cachent donc ces 2go et quelques de données à télécharger ???

 

The Xbox One's first arcade game, Max:  The Curse of Brotherhood, came out quietly at the end of the month of December. Did Microsoft want to keep the release low-key because it was ashamed? Does Max have a deep, dark, secret, that he would rather keep to himself? What do these 2Gb or so of downloadable data have to hide??? 


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Le jeu de Press Play avait été annoncé il y a un petit moment déjà…mais pour une sortie sur Xbox 360, jouable lors de l’E3 2013 il se révélait être un jeu de plateforme sympathique, coloré, dynamique et original dans sa conception. Pourquoi donc ? Parce que, en plus de contrôler le jeune Max dans un monde en 2,5D vu de côté, le joueur manie également un marqueur magique capable d’interagir avec le décor (de manière relativement scriptée) pour résoudre des énigmes et faire avancer notre garçon. Faire pousser des branches, élever des piliers de terre ou créer des tunnels d’eau deviendra votre quotidien.

 

Press Play's game had been announced a little while ago now... but for release on the Xbox 360; playable during E3 2013, it revealed itself to be a fun and colourful platform game which was dynamic and original in its conception. Why? Because, as well as controlling the young Max in a side-scrolling 2.5D world, the player also controls a magic marker able to interact with the background (in a relatively scripted way) to resolve certain riddles and make our boy advance through the story. Making branches grow, elevating pillars of earth or creating tunnels of water will become your daily tasks. 

 

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Graphiquement pas à la hauteur d’une Xbox One, Max n’en demeure pas moins très joli et agréable à l’œil, jouant de multiples couleurs, de niveaux variés parfois superbes (les grottes) ou un peu fades (la forêt), mais corrects dans l’ensemble. Côté maniabilité le jeune garçon se dirige facilement, mais certains auront un peu de mal à l’utilisation du marqueur, du moins pour les premiers coups de main. J’avoue n’avoir eu aucune difficulté de ce côté là, ni aucune gêne contrairement à ce que j’ai pu lire sur divers sites.

 

Graphically not impressive enough for the Xbox One, Max remains very pretty and pleasing to the eye, exploiting multiple colours, and different levels, which are sometimes superb (the caves), sometimes a bit muted (the forest), but okay in general. On the gameplay side the young boy is easily controlled, but some people will have a bit of trouble using the marker, at least the first few times. I admit that I didn't have any problems there, or any of the other problems that I read about on various sites. 

 

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Côté scénario c’est un simple prétexte à l’exploration d’un univers parallèle, rien de vraiment formidable, la mise en scène est faiblarde et le « méchant » un peu fade. Qu’à cela ne tienne, le jeu dispose d’une ambiance qui se savoure avec plaisir, faisant penser à l’excellent Heart of Darkness (les joueurs PS1 se souviendront) ce qui n’est pas rien.

 

Scenario-wise, it is a simple idea, the exploration of a parallel universe, nothing is great, the staging is fairly weak, and the 'baddie' a bit dull. No matter though, the game has an atmosphere that can be soaked up with ease, making you think of the excellent Heart of Darkness (those that had a PS1 will remember), which isn't nothing. 

 

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Pourquoi si peu de communication autour du premier jeu arcade ? Mystère. Max : The Curse of Brotherhood n’a pas à rougir de ses faiblesses, de sa difficulté mal gérée (sans jamais être insurmontable), ni de sa durée de vie de 4-5 heures propre au genre. En cette période où les gamers auront bouclés leurs premiers jeux, celui-ci se présente comme une bouffée d’air frais en attendant la suite du programme.

 

So why so little communication around the first arcade game? Mystery. Max: The Curse of Brotherhood shouldn't be ashamed of its weaknesses, its poorly managed difficulty curve (without it being impossible), nor its 4-5 hour lifespan. In this period where gamers will have completed their first games, this title presents itself as a breath of fresh air while waiting for the next part of the programme. 

 

 

15/20.

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 19:04

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Ça y est ; l’heure des comptes a sonnée pour Microsoft, qui vient de sortir sa Xbox One. Le phénomène n’est pas passé inaperçu er précède en France la sortie de sa concurrente la PS4 de Sony. Alors, quid de cette Xbox One ?

 

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Je ne vais pas entrer dans la bataille immature des deux constructeurs et (surtout) de leurs jeunes fans dont la plupart ont le Q.I de l’armée de sauvages qui s’est abattue sur le Paris Game Week pour tester Call Of Duty, au détriment de toute patience et de toute politesse, voire de tout honneur. Non, ici je m’adresse donc aux joueurs, aux passionnés, à ceux qui aiment les jeux vidéo pour l’expérience plus que pour la violence, pour l’image plus que pour la couleur du sang, pour le scénario plus que pour les tirs de mitraillettes.

Oui, je m’adresse à toi.

Et je vais te parler de ma première fois avec la Xbox One et quelques uns de ses jeux.

 

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Pour la console tout d’abord, dont certains s’amusent à moquer sa robe certes imposante, mais cependant totalement en adéquation avec le mobilier d’aujourd’hui, à la fois mate et laquée pour plaire à toutes les combinaisons, simple et épurée pour se fondre en dépit de sa prestance, pour cette console silencieuse, si si, je donne une bonne note. Pour sa manette j’offre l’excellence. Jamais prise en main n’aura été si parfaite. Pour l’architecture interne tout est affaire de goût. Il y a évidemment du bon et du moins bon car, voyez vous, tout le monde n’aime pas les tuiles de Windows 8. Moi ça ne me déplait pas. Seul le fonctionnement sous forme d’applications (télécharger le lecteur Bluray, le lecteur cd etc… est une opération assez étrange et mystérieuse.)

Pour ce qui est de la connectivité, si elle ne doit pas être permanente elle demeure indispensable pour la mise en route et de la console, et de chaque jeu qui nécessite une mise à jour dépassant parfois le giga, je m’en excuse auprès de mon fournisseur d’accès incapable de me fournir un débit assez  important…Oui, j’ai fait chauffer le wifi, et votre tour viendra. Une fois ces formalités faites on peut jouer à loisir, avec ou sans accès internet, sachez tout de même que la connectivité permanente (comme votre Smartphone n’est-ce pas…) est quand même bien vue pour faire les mises à jour automatiquement la nuit par exemple, ou pour Kinect.

 

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Kinect ! Justement, si l’utilisation de la caméra n’est pas encore exploitée (peu de jeu, pas de Kinect sport hormis une démo), c’est par la voix que l’appareil surprend, avec une reconnaissance vocale au point (même si encore perfectible via de prochaines mises à jours), et qui donne l’impression de mettre un pied dans le futur. Allumer ou éteindre sa console, déployer l’ancrage (fenêtre qui s’immisce à droite de l’écran et qui permet par exemple de jouer tout en regardant la télé ou en allant sur Skype ou internet, c’est magique). Microsoft « impose » aux développeurs d’utiliser l’appareil en jeu et je dois dire qu’ici encore c’est efficace, que ce soit Fifa ou Battlefield en passant par Dead Rising, l’utilisation est géniale.

 

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La Xbox One est parvenue à me convaincre avec ses nombreux atouts, seule l’installation des jeux est un peu longue, tout comme le sera l’attente des jeux d’arcade… Si la console et ses jeux forment un beau lancement, c'est surtout - et essentiellement - une magnifique promesse pour les années à venir. Et les jeux du lancement, me direz-vous, si je n’ai pas pu tout tester voici quelques lignes pour ceux qui passent entre mes mains.

 

NBA 2K14

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Véritable vitrine technologique pour PS4 et Xbox One, ce NBA est incroyable de réalisme dans les gestes et les textures (vêtements et visages, muscles et sueur), une véritable tuerie pour les yeux. A réserver toutefois à une clientèle connaisseuse, le jeu est compliqué pour qui ne connaît pas le basket (comme moi par exemple).

 

Fifa 14

 

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Même topo que NBA en moins joli toutefois, mais la fluidité et le réalisme sont au rendez-vous du ballon rond et on accroche aux ambiances de folie, qu’on aime ou pas le football la sauce prend vite, tout comme la prise en main. A recommander pour les soirées entre potes évidemment.

 

Battlefield 4.

 

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J’ai adoré le Bad Company 2, je n’ai pas accroché le 3, et voici que le 4 me réconcilie avec la saga, non pas pour sa campagne solo attendue même si efficace dans ses effets, le son des armes est effrayant de réalisme, la destruction des niveaux l’est tout autant, l’eau par contre est parfois ratée. Pour le multi c’est de l’immensité, interdit donc aux fans de Call Of et du couteau, ici les maps sont faites pour les véhicules et ça se voit. Un excellent multijoueurs en réseau.

 

Dead Rising 3.

 

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Certes le jeu n’est pas spécialement beau, la physique des véhicules complétement ridicule, mais la map est grande, le nombre de zombis à l’écran incroyable, et le défouloir est garanti, appuyé par une petite histoire sympathique à suivre même si elle n’est pas surprenante. Un atout de poids : le jeu est jouable en coop en ligne, et c’est un plus non négligeable. A faire si vous aimez le genre, vraiment, rien que pour l’humour et les psychopathes toujours aussi barrés.

 

Need For Speed Rivals.

 

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C’est joli comme du need for speed, ça va vite comme du need for speed, c’est répétitif comme du need for speed. Ça oblige presque à être connecté et ça c’est nul, ça ne connaît pas le menu pause et ça c’est vraiment con, bref, prenant mais sans véritable plus.

 

Forza 5.

 

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La simulation ultime ? La vitrine de cette nouvelle génération ? Certainement. Cet opus est véritablement excellent, mais je commence par le défaut : il prend les joueurs pour des vaches à lait et ça c’est pas bien ! Avec son manque de circuits et des voitures à des prix un peu excessifs, même s’ils sont atteignables à la longue.  A part ça ? Graphismes aux petits oignons, maniabilité au goût de chacun selon le paramétrage, ajout des gâchettes vibrantes qui procurent des sensations nouvelles (accélération et freinage prennent une toute nouvelle dimension.) mais le plus, le très gros plus, c’est le Drivatar. Encensé par certains, décriés par d’autres, moi je trouve ça génial. Le concept est simple, Forza enregistre au fil des courses votre façon de conduire et transfère les données à vos amis et même plus via son Cloud. Résultat des courses, l’IA traditionnelle est remplacée par la façon de conduire de  vrais joueurs, forcément plus bourrine et moins précise, qui procure cette impression de conduire en réseau même lorsqu’on joue en solo, et qui pimente nettement les courses, rendant l’ensemble moins lassant qu’auparavant. Alors oui, il y a des accidents, des accrochages en pagaille, mais on est 16 sur la piste mon brave monsieur, et ça, c’est merveilleux ! Le  jeu à posséder (si vous aimez les automobiles)

 

Maintenant que vous savez tout ça, j’y retourne !

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 13:48

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L’été est toujours l’occasion pour Microsoft de nous sortir son Summer of Arcade, en même temps vu le titre, cela semble un peu logique de ne pas le faire en hiver. Bref, c’est l’occasion de dévoiler les jeux les plus attendus du XBOX Live Arcade, souvent de véritables merveilles de beauté (Limbo), d’ingéniosité (Braid) ou d’addiction (Trials HD). Cette année ne déroge pas à la règle et sur quatre titres annoncés, deux étaient particulièrement attendus : Flashback, remake du célèbre jeu de 1992, et Brothers. Je reviendrai sur Flashback bientôt mais pour le moment place à Brothers.

 

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N’est pas inconnu le studio à l’origine de ce jeu dont le titre complet est Brothers, a tale of two sons, puisqu’il s’agit de Starbreeze, déjà à l’origine des très bons jeux Riddick (Escape From Butcher Bay  et Assault on Dark Athena). Pas trop d’inquiétude donc de ce côté là, d’autant plus que ce studio s’est affilié au réalisateur Jacob Farés (Cops) pour l’écriture. Petite frayeur puisque l’homme en question est plus à l’aise dans la comédie que dans le programme promis par Brothers.

 

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Dans ce jeu vous incarnez deux personnages simultanément, mais pas en coop. Exit la seconde manette, exit même le second joueur, ceci est un jeu de coopération mais en solo, vous suivez ? Le principe est simple sur le papier : vous jouez simultanément les deux frères de l’histoire, le grand et le petit, en les maniant chacun avec un stick analogique et une gâchette. Un peu plus délicat à rendre à l’écran la magie opère malgré le nombre ahurissant de murs que se prennent les frangins dans la tronche.

 

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Le petit ne sait pas nager, il a vu sa mère se noyer sous ses yeux, le grand est plus débrouillard, et les deux doivent se mettre en quête d’un ingrédient spécial pour soigner leur père gravement malade. S’enchaînent donc des chapitres basés sur des énigmes assez simples à exploiter, ne bloquant jamais les joueurs, ainsi que quelques boss point trop dangereux non plus. De ce côté-là on devine que Starbreeze à voulu immerger son joueur dans l’histoire sans lui causer trop de frustrations inutiles devant des objectifs impossibles. On parcoure donc ce monde magnifique avec des tableaux grandioses (celui de la bataille des géants est particulièrement réussi), interagissant avec quelques PNJ dans l’espoir de débloquer des succès qui, pour une fois, sont intelligents et non liés à la progression.

 

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Les personnages parlent une langue imaginaire proche de celle des Sims, rendant le titre universel et ne nuisant en rien à sa compréhension. Pour seul reproche je pointerais du doigt la faible durée de vie (environ 3 heures) pour un jeu qui ne se rejoue que pour débloquer les succès manqués (il y en aura, croyez moi). Mais après tout 3heures n’est-ce pas là la durée d’un bon film ?

 

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Brothers, a tale of two sons est donc la pépite du XBOX Live arcade de ce Summer of arcade, sans toutefois rejoindre Limbo et compagnie, le jeu de Starbreeze se hisse sans problème parmi les plus belles réussites sur cette plateforme.

 

 

17/20

 

Version Anglaise:

 

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Summer has always been the occasion for Microsoft to bring out its Summer of Arcade…funnily enough, it didn’t seem right to do it in winter. In short, it’s the chance to unveil the most anticipated Xbox Live Arcade games, often works of remarkable beauty (Limbo), ingenuity (Braid), or addictiveness (Trials HD). This year does nothing to stray from the path, and from four titles announced two were very much eagerly awaited: Flashback, remake of the famous 1992 game, and Brothers. I will return to Flashback soon, but for the moment, let’s take a look at Brothers.

 

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The studio behind this game, whose full title is Brothers, a tale of two sons, is not unfamiliar; it is Starbreeze, already known for the very good Riddick games (Escape from Butcher Bay and Assault on Dark Athena). Not too much to worry about there, then, especially as they have joined forces with the director Jacob Farés (Cops) for the script/writing. There have been a few nerves, however, as the man in question is more comfortable with comedy than what has been promised by Brothers.

 

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In this game you play as two characters simultaneously, but not in the sense of a traditional co-op; no second controller is used, no second player even, this is a game of solo cooperation… Do you follow me? On paper, the principle is simple: you simultaneously play as the two brothers from the story, the older and the younger, controlling each one with one of the analogue sticks and a trigger. A little bit more difficult to master in reality, the system does work, despite the ridiculous number of walls that both of the brothers will walk in to.

 

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The younger brother can’t swim – he saw his mother drown right in front of his eyes.  The older brother is more resourceful, and the two must go on a quest to find a special ingredient to heal their father, who is gravely ill. The chapters thus follow one another based around fairly simple puzzles, which never leave the player stuck, as well as a few bosses that are not too challenging either. From this we can guess that Starbreeze wanted to immerse the player in the story without causing him too much useless frustration faced with impossible objectives. We travel though this remarkable world with grand set-pieces (the one with the battle between the giants is particularly well-done), interacting with a few NPCs in the hope of unlocking some achievements which, for once, are intelligent and not linked to your character’s progression.

 

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 The characters speak an imaginary language that is close to that of the Sims, making the title universally enjoyable, without ruining its meaning for anyone. The only criticism that I have is the duration of the story, a mere 3 hours (or thereabouts) for a game whose only replayability is to unlock the missed achievements (and there will be some, believe me). But after all, I suppose that three hours is the length of a decent film, isn’t it?

 

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Brothers, a tale of two sons, is thus the pint-sized gem of Xbox Live Arcade’s Summer of arcade; without joining the ranks of Limbo and co, this game by Starbreeze still manages to stand alongside the best successes of this platform.

 

17/20

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8 juillet 2013 1 08 /07 /juillet /2013 16:37

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On pourrait décrier Borderlands 2 sur bien des points, à commencer par sa violence, son langage fleuri, le cel shading pour certains, les bugs. Oui, on pourrait. Mais à quoi bon ? Inutile de refaire le test, je maintiens la note, mais j’en reviens ici à ce qui fait la force de ce titre, outre son univers, cette ambiance unique empruntée autant à du Mad Max qu’à Terminator, non, la vraie force de Borderlands 2 est d’offrir des extensions de qualité.

 

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Quand je dis offrir j’exagère un peu, il faut payer pour ça, le bonheur virtuel n’est pas gratuit, mais à l’instar du premier épisode on en a pour son argent, et tous les jeux ne peuvent pas en dire autant. Je passe rapidement sur le monde de Torgue complètement farfelu avec ce personnage qui ne sait faire autre chose que crier (mais c’est jubilatoire), je passe aussi sur la partie de chasse avec Hammerlock, finalement le moins fun des mondes, mais pourtant déjà si bon. Et je passe également sur le capitaine Scarlett, son monde de pirates, cette capitaine complètement grrrrr.

 

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Et je me traîne un peu sur la dernière extension en date : Tiny Tina’s Assault on Dragon Keep, rien que ça. Retour donc de la tarée de service, la jeune Tina qui, pendant qu’on torture quelques soldats d’Hyperion, amuse la galerie en mettant sur pied un jeu de rôle plateau que vous vivrez de l’intérieur. Ou comment mêler l’univers futuriste post apocalyptique de Borderlands à de l’heroic fantasy incluant chasse au dragon, Templier, Nécromanciens et tout le tralala…

 

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Avec force références et un système de narration magistral, TTADK (oui, j’abrège) vous met dans la peau du pion de jeu de plateau, obéissant à la règle des jets de dés qui détermineront par exemple la valeur du butin de certains coffres. Narrée par Tina, l’histoire évoluera en fonction de ses improvisations, de ses humeurs, sans échapper aux critiques des autres joueurs (Brick, Mordecaï et Lilith) qui viendront modifier quelques passages, comme l’apparition d’un boss beaucoup trop puissant pour le joueur par exemple.

 

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Pour plus d’une dizaine d’heure de jeu, TTADK s’impose comme la meilleure extension de Borderlands 2 à ce jour, la plus fun, la plus complète, la mieux écrite également, bref, à ce prix là pourquoi se priver ?

 

 

18/20

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18 mai 2013 6 18 /05 /mai /2013 17:01

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Lorsque la technologie actuelle se met au service des années 80, lorsque des cerveaux harassés de fatigue s’emballent dans un grand n’importe quoi, un délire d’un autre âge, d’une autre ère, d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, lorsqu’on se dit que finalement tout est possible, alors on joue à Far Cry Blood Dragon.

 

When today’s technology lends itself to the 1980s, when sleep-addled minds get caught up in a load of nonsense that doesn’t make any sense, a craze from another age, from another era, a time that those who have yet to reach their twenties do not know, when you tell yourself that, in the end, anything is possible, then you play Far Cry Blood Dragon.

 

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Stand Alone plutôt qu’add on, comprenez donc jeu jouable indépendamment de l’original plutôt qu’extension, Blood Dragon ne reprend de son aîné que la mécanique et la belle technologie. Le reste appartient à jadis. Une histoire d’un futur apocalyptique tel qu’on se l’imaginait à l’époque de la sortie de Terminator, des couleurs flashy qui dégoulinent à l’écran, des cut scènes en 8 bit qui vous collent au passé, une musique au synthé du temps de Jean Michel Jarre, rien ne manque pour fabriquer ce mot magique : nostalgie.

 

A stand-alone game rather than an add-on, and thus a game that is playable independently from the original rather than being an extension of it, Blood Dragon only keeps the gameplay and good graphics from its predecessor. The rest belongs to days gone by. The story of an apocalyptic future as you would have imagined at the time when Terminator first came out, there are flashy colours that ooze from the screen, 8-bit cut scenes that glue you to the past, synthesised music from the time of Jean Michel Jarre, nothing is missing to create the magical word : nostalgia.

 

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C’est sur ce principe que repose l’essence même du jeu, véritable nanar assumé, revendiqué même, à l’histoire écrite sur un coin de table un soir de beuverie totale après être allez voir Rambo, Predator et Terminator dans la même journée, ici tous les clichés sont permis, voire obligatoires. Les dialogues sont croustillants de niaiseries et les monologues et autres répliques de notre héros ne déplairaient pas aux scénaristes de Hot Shots, volontairement ringardes. Tout autant que les phrases qui viennent ponctuer les temps de chargement (« Quand vous prenez feu, criez avec votre personnage, c’est comme du karaoké » ou « les armes de poing sont des flingues qui tiennent dans la main. Le futur est là »)

 

The essence of the game rests on this principle – an already anticipated, even desired, flop, whose story was written on the corner of a table during a drinking session after having been to see Rambo, Predator and Terminator in the same day, here all clichés are allowed, even necessary. The dialogues are jam-packed full of inanities, and the monologues and other remarks that our hero makes wouldn’t be out of place with Hot Shots’ scriptwriters, being deliberately over the top. This is also true for the sentences that punctuate the loading screens (‘When you catch on fire, scream with your character, it’s like doing karaoke’ or ‘hand weapons are guns that you can hold in your hand. The future is here’).

 

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Tout ceci fait qu’on en vient à passer outre les défauts du jeu, sa facilité, ses armes surpuissantes (l’arc est plus redoutable que n’importe quelle arme à feu), sa redondance, l’absence de réel challenge, l’obscurité tout le temps. Mais ne vous y trompez pas, Far Cry Blood Dragon ne plaira qu’à ceux qui cultivent la nostalgie de cette époque révolue où tout était mieux (non je déconne), bref : les années 80.

 

All of this means that you tend to overlook the game’s faults: how easy it is, it’s overpowered weapons (the bow is more deadly than any firearm), its repetitiveness, the absence of any real challenge, always being in the dark. But, and there is no doubt about it, Far Cry Blood Dragon will only please those who cultivate the nostalgia from this past epoch where everything was better (seriously, I’m taking the piss), in short: the 80s. 

 

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Pratiquez la démo avant de vous lancer à corps perdu vers un ovni qui pourrait vous déplaire, sachant que bon délire ou pas, le soufflet fini invariablement par retomber.

 

Play the demo before throwing yourself heart and soul towards a game that you could dislike, bearing in mind that, whether it is a good bit of fun or not, it will soon run out of steam.

 

 

14/20

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6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 18:11

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Bioshock Infinite est le jeu événement de cette année 2013, du moins c’est ce qu’on lit partout. Ah marketing quand tu nous tiens ! Franchement… comment peut on annoncer ça en avril sachant pertinemment ce qui va se passer cette année ??? L’information n’est pas fiable, détournez-vous en pauvres fous ! Bioshock Infinite est le jeu événement du 26 mars 2013, là l’information est plus juste. Je dirais même plus : Bioshock Infinite est un bon jeu.

 

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Je me souviens de Rapture la cité sous marine, claustrophobie en mode « on », le Big Daddy en redoutable Némésis, les inquiétantes petites sœurs, la population perdue dans sa folie, c’était le bon temps. A présent je vois Columbia, cité dans les nuages, ambiance début XXème, pavés, musique, foule joyeuse, la belle Amérique. Booker – c’est vous – doit y retrouver une jeune fille et la ramener sur terre pour rembourser ses dettes, mais pour qu’un jeu soit un jeu, rien ne doit se passer comme prévu.

 

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Bioshock Infinite tient les promesses aperçues dans les nombreuses vidéos promouvant le jeu. Il les tient dix minutes. Et vite, tout s’envole. De la beauté au carnage il n’y a qu’un pas. Ken Levine, scénariste sur le premier Bioshock a préféré s’éloigner du second pour revenir ici avec une histoire qui, si elle s’articule autour d’un univers intéressant, demeure trop floue par certains aspects, parfois trop rapide, parfois trop lente, jamais dans un bon rythme et souvent rompue aux rebondissements censés rallonger l’expérience de jeu. Oui mais l’expérience de jeu n’est au final pas terrible…

 

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Bioshock est riche, beau, flatte la rétine. J’avoue. Mais le spectacle ne dure qu’un temps et les premiers symptômes arrivent. D’abord Booker DeWitt le héros, main gauche, main droite, pur FPS, mais pas de jambes… Allo quoi ! Tu marches dans la rue mais t’as pas de jambes…. C’est comme avoir des gants mais pas de mains, non mais allo…. (ça vous énerve hein ? Moi aussi.) En fait bizarrement je trouve ça inadmissible aujourd’hui, ça brise tout le réalisme du jeu, toute sa crédibilité, car oui : je suis chiant. Ensuite il y a cette fausse liberté gonflante, impossible d’aller où on veut, le système de rails est en réalité ultra limité alors que son potentiel ouvrait des possibilités énormes. Et puis le jeu n’offre aucune réelle tension, pas de Némésis ici et c’est regrettable, même le prophète n’a pas de charisme (et pourtant il est prophète…mais comment a-t-il fait ?). Et je ne parle même pas de l'intégration des textes en français, à l'arrache, trop petits et non paramétrables...

 

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Alors oui, Elizabeth arrive et sauve un peu les meubles par son autonomie. Mais celle-ci est cyclique donc finalement pas si formidable que ça, tandis que vos ennemis se verront dotés de QI de moineaux. Pas de quoi crier au miracle. Aussi je ne comprends pas la presse spécialisée qui encense le jeu. Ok c’est beau, fluide. Mais quitte à jouer à Bioshock préférez de loin le premier. Infinite n’a rien d’inoubliable, même son scénario ne retransmet aucune émotion, le jeu ne tient pas ses promesses de liberté et finalement se repose sur les acquis de ses prédécesseurs au niveau technique.

 

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Fini le sentiment d’oppression jouant sur les ombres, les sons, l’architecture des lieux, bonjour fausse liberté, discours moralisateur sur le racisme, l’exclusion, les sectes, discours certes intelligent mais trop lourdement pointé du doigt et répété, un peu trop facile. Je ne croyais pas en Infinite avant de voir l’envolée des notes, alors j’ai craqué, je me suis amusé, mais pas plus que sur un jeu « normal ».

 

 

14/20

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 14:03

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Noter un jeu en faisant abstraction de son aspect purement technique n’est pas chose commune, le cas se présente donc assez rarement pour ne pas l’ignorer. Car The Walking Dead comporte ses défauts, à n’en point douter, intégralement liés au gameplay à la manette ou à la facilité des énigmes mais s’ils sont source de quelques morts stupides et frustrantes, ils n’entament en rien la puissance intrinsèque du titre.

 

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Cette puissance est dans la narration plus que dans l’originalité, dans la force des situations plus que dans sa mise en scène. The Walking Dead est un jeu bâtard, mélange d’aventure, de recherches et de QTE (appuyer sur tel bouton au bon moment), une sorte de film interactif où Lee devra se battre pour survivre et protéger la petit Clémentine, huit ans, des morts comme des vivants. Au fil des rencontres un groupe se fait et se défait, jamais dans la joie, toujours la douleur et toujours l’appréhension appuyée par le choix qui change la donne à chaque instant.Puisque The Walking Dead dévoile son potentiel dans ces choix de dialogues qui vous forceront à avoir une opinion sur tout, sur chacun, tout le temps. De vos partis pris dépendra la suite du jeu, les affinités, les morts, les choix des autres aux moments les plus fatidiques.

 

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Durant cinq épisodes se succèdent, sur une dizaine d’heures, les conséquences de vos actes, et comme si ça ne suffisait pas le temps pour faire votre choix est compté et ajoute une pression supplémentaire non négligeable. The Walking Dead est rude, sans concessions, il vous rappelle à chaque instant le dramatique de la situation, vous met face à vos responsabilité et à votre sens du devoir et des priorités, vous fait vivre plus qu’aucune autre œuvre cette « zombie-apocalypse ».

 

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Je me suis senti moins solide que je ne le pensais, plus lâche parfois, en venant à souhaiter que ce genre de fin du monde n’arrive pas (non mais allo quoi !). Car The Walking Dead vous implique tellement qu’il est difficile d’en décrocher, on finit par croire en la véracité de ce monde, en sa fatalité, et on se prend d’affection pour Clémentine, la protégeant comme son propre enfant, forçant le joueur à se projeter complétement dans cette histoire et à frôler au plus près la frontière entre la réalité et le virtuel.

 

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Contre toute attente, et pour en revenir à mon introduction, j’ai vécu une expérience unique, jamais ressentie devant un jeu en vingt ans de pratique, une décharge émotionnelle extrêmement forte au paroxysme des vingt ou trente dernières minutes du cinquième épisode, quelque chose qui n’arrive que devant certains films, certains livres. Une tristesse qu’on sent poindre puis déferler sur vous sans espoir de passer outre. The Walking Dead est nécessairement pessimiste, à vous de trouver les rares instants de bonheur, aussi nuancé soit-il, à vous de partager votre confiance ou de la rendre exclusive. Mais n’oubliez pas que le jeu s’adapte à vos choix constamment.

 

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Alors oui, ma note reflète la narration, l’interactivité humaine, les sentiments et émotions, l’intransigeance, le fait de ne reculer devant rien, pas même le pire. The Walking Dead demeurera pour cela l’une des plus grandes aventures interactive qu’il m’est été donné de vivre, d’aimer, de regretter et de haïr.

 

 

20/20

 

(La version testée sur XBOX 360 est en anglais sous titrée français, la version Ipad ne l’est pas encore mais nul doute que ça viendra. Sur le Live arcade il vous en coûtera 400 points par épisode, soit 20 euros pour les cinq, ce qui est peu en comparaison du contenu

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 18:31

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Pour les jeunes lecteurs de ce blog (s’il y en a) le nom de Crystal Dynamics peut ne pas être familier, cependant pour les plus anciens, ceux de l’ère Playstation ce studio doit résonner en vous comme étant le créateur de l’une des plus belles licences du jeu vidéo, à savoir la saga Soul Reaver, Legacy of Kain.  Partant de ce postulat, connaissant le talent de l’équipe aux commandes, je peux maintenant vous donner mes impressions sur le dernier, ou plus vraisemblablement le premier, Tomb Raider.

 

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La plantureuse Lara Croft est de retour, formes généreuses, petites lunettes rondes posées sur le bout du nez, combinaisons moulantes, mais malheureusement incapable de sauter un mur convenablement ou de bondir de plateforme en plateforme sans se vautrer lamentablement dans le vide, la faute à un gameplay un poil sensible et exigeant. L’aventurière aura fait tourner la tête de bien des camarades de classe à l’époque qui affichaient des posters de la demoiselle sur toutes les surfaces disponibles de leur espace vital. Je n’étais pas de ceux-là, car même si j’ai reconnu tout de suite le statut d’icône de Lara Croft, le jeu en lui-même m’a rapidement gonflé. Aussi n’ai-je même pas pris la peine de faire les opus suivants. Mais ça, comme dirait l’autre, c’était avant…

 

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Car notre Lara a bien changée. 21 ans, dotée de mensurations plus « normales », et globalement beaucoup plus crédible que son image originale, notre jeune aventurière en herbe est devenue, l’espace d’une poignée d’heures, mon personnage virtuel féminin préféré, n’en déplaise à Samus et Faith et Chun-Li et Camille et Nina et Ivy et Peach…Ah, non, pas Peach en fait. Donc personnage crédible = univers crédible. Ici Lara Croft échoue sur une île masquée par une tempête librement inspirée du Triangle des Bermudes, se retrouvant seule sur le sable, les yeux dans l’eau, mon rêve était trop beau… (Ceci étant une version québécoise du jeu, certains comprendront, d’autres pas.). Déjà blessée par une chute douloureuse le joueur devra aider la belle à retrouver ses amis mais surtout à se débarrasser des autochtones du coin, armés jusqu’aux dents ces fanatiques à la solde d’un certains Mathias servent une divinité dont il vous faudra connaître les motivations, et la tache sera rude.

 

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Ami jeune, tu avais kiffé l’arc de Far Cry 3 ? Alors Tomb Raider est fait pour toi ! Première arme du jeu en plus d’un pistolet traditionnel, l’arc vous accompagnera jusqu’au bout de l’aventure et s’avérera être l’arme la plus jouissive du jeu, voir d’un bon paquet de jeux.  Jamais je ne me suis tant amusé avec cette arme, si bien qu’elle m’accompagne aujourd’hui dans mes rêves, et même dans la réalité puisque j’ai eu le reflexe stupide de le chercher à seule fin de viser une mouette passant dans mon champ de vision (cette histoire est certifiée verdict). Piolet, Fusil à pompe et fusil agrémenteront rapidement l’arsenal pour donner du bonheur à tout le monde. L’idée ici étant de pouvoir, au fil de l’expérience acquise, customiser son arme, voire récupérer des pièces pour de meilleures armes.

 

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Après avoir fait un paragraphe sur l’arc, ce qui n’est pas banal, passons à l’univers. L’île visitée est vaste et incroyablement diversifiée, peuplée d’une faune locale qu’on regrettera un peu car trop légère (pas d’animal vraiment sauvage), mais à la végétation dense, aux constructions datant de la seconde guerre mondiale, au bidonville créé par divers rescapés, aux temples d’inspirations japonaise et j’en passe, on ne se lasse pas un instant de contempler les décors, oubliant presque le fait d’être dans de vastes couloirs tant le level design frise l’excellence. Pour couronner le tout les graphismes sont d’une richesse inouïe, le champ de vision incroyablement profond (on le constate d’autant mieux lorsqu’on se tient sur une corniche), et le tout sans saccades ni ralentissement. Du grand art.

 

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Les animations n’ont pas à rougir du reste, Lara est criante de vérité dans le moindre de ses déplacements, bénéficiant qui plus est de la voix d’Alice David (la « fille » dans la série Bref) qui lui colle à la peau avec un jeu et des intonations très justes. Pour ce qui est de l’intelligence artificielle elle est au rendez-vous, les ennemis communiquent entre eux, tentent de vous déloger de vos cachettes avec des grenades incendiaires ou de la dynamite, n’hésitent pas à vous contourner ou à venir vous affronter au corps à corps.

 

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Qui plus est les scènes d’action et de gunfights sont relativement nombreuses et stimulantes, sans jamais prendre le pas sur la recherche. Tomb Raider ne faillit pas à sa légende, Lara Croft est une aventurière et elle aime découvrir des mondes nouveaux, en cela elle va être servie, énigmes à résoudre, objets ou carnets à récupérer pour cerner l’ensemble de l’histoire, rien ne manque et l’ennui ne pointe jamais son museau. Quelques QTE viennent se glisser par endroits, parfois vicieux car ne donnant aucune indication sur l’action à mener dans l’urgence, mais toujours efficaces et bien amenées. Enfin la variété est au rendez-vous, avec quelques surprises que je ne révélerais pas et cette impression que j’adore de croire que la fin du jeu est proche pour s’apercevoir que en fait, non, il y a encore du chemin.

 

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Mais, parce qu’il y a un mais, Tomb Raider a quand même le malheur d’être court même si chargé en adrénaline, et ne dispose que de très peu de rejouabilité, à peine si on parcourt la carte pour terminer les défis. Pour ce qui est du multijoueurs je ne l’ai pas testé, mais ce n’était de toutes façons pas le sujet de ma critique. En plus je n'ai pas croisé un seul T-Rex...

 

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Intense, diablement beau, agréable à jouer et non linéaire, Tomb Raider possède les qualité d’un jeu parfait, du jeu parfait même, aussi intéressant pour le joueur que pour le spectateur qui vit l’aventure comme un cinéphile. Crystal Dynamics met la barre très haut en s’inspirant des meilleurs jeux d’aventure (on ne peut s’empêcher de penser au très bon Uncharted) et en offrant une Lara Croft plus iconique que jamais. Ajoutez à cela que je veux un arc à Noël et vous saurez combien j’ai aimé ce jeu. Attention aux parents joueurs, le jeu est violent et parfois gore, éloignez les enfants.

 

 

19/20

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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 15:35

Je devrais dire le trailer qui fait wouah, qui fait mal, qui promet. Même si ça ne reste qu'un trailer...

 

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 10:49

Quand les papas de The Witcher teasent un nouveau projet ça donne ça:

 

 

 

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toujours en quête d'évolution l'Arbremonde a décidé de devenir bilingue, du moins partiellement. En effet, avec l'aide d'Emily Kirby certains articles seront traduits en anglais, vous les reconnaîtrez au double titre (français et anglais), la version anglaise se trouvant toujours sous la version française. Les articles traduits sont choisis par Emily, qui a décidé de commencer par le Guide de survie en territoire zombie.

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